Comment faire un bon RP ?

Il est facile de faire au moins cinq lignes de RP, je vais vous citer ma technique:

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J'écris tout d'abord:

Citation :

Entendit le prêtre prononcer "je n'ai fois en aucun des deux parti", se leva, posa son exemplaire de la bible et se dirigea vers le prêtre. Se planta, un air sérieux.

Totalement imcompréhensible.

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Je vais m'arranger pour être plus clair:

Citation :

Quand elle entendit le prêtre prononcer "je n'ai foi en aucun des deux parti", Orora se leva, posa son exemplaire de la bible et se dirigea vers le prêtre. Elle se planta en face de lui, un air sérieux peint sur le visage.

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Encore limite n'est ce pas? J'essaye de décrire plus précisément les actions ...

Citation :

Quand elle entendit le prêtre prononcer "je n'ai foi en aucun des deux parti", Orora se leva brusquement, posa vivement son exemplaire de la bible, et marcha vivement vers le prêtre. Pour se planter devant lui, un air sérieux avait remplacé la tristesse.

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Maintenant, je rajoute la description:

Citation :

Quand elle entendit le prêtre prononcer "je n'ai foi en aucun des deux parti", et qu'elle vit l'homme de religion entrer, Orora se leva brusquement, posa vivement son exemplaire de la bible, objet pourtant précieux, que lui avait offert son père avant de mourir, qu'elle feuilletait avec attention quelques minutes plus tôt. Elle se dirigea vivement vers le prêtre, pour se planter devant son ancien précepteur. La tristesse avait fait place à l'air sérieux qu'elle employait tout le temps en ce moment, même si, face au religieux, elle s'efforcait d'être un minimum sympathique.

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Puis ce que pense mon personnage:

Citation :

Quand elle entendit le prêtre prononcer "je n'ai foi en aucun des deux parti", et qu'elle vit l'homme de religion entrer, Orora se leva brusquement, posa vivement son exemplaire de la bible, objet pourtant précieux, que lui avait offert son père avant de mourir, qu'elle feuilletait avec attention quelques minutes plus tôt. Espèrant que le prêtre ne voit pas son geste, et, si il l'avait vu, elle epérait qu'il ne s'en mêlerai pas. Elle se dirigea vivement vers le prêtre, pour se planter devant son ancien précepteur. La tristesse avait fait place à l'air sérieux qu'elle employait tout le temps en ce moment, même si, face à l'homme de religion, elle s'efforcait d'être un minimum sympathique. Elle s'était rendu compte la veille de combien il pouvait être supportable comparé à son bras droit. Mais elle se demandait comment cela se faisait-il que le religieux soit descendu la voir en personne. D'ordinaire, soit il utilisait l'écran de contact, soit il envoyait deux, trois ou même quatres gardes la chercher. Ce qu'elle n'apprèciait pas trop par ailleurs, car si deux gardes venaient la chercher, ils se plaçaient l'un à droite et l'autre à gauche. Si ils étaient trois, il y en avait toujours un à droite, un à gauche, et un derrière. A quatre, il y en avait un derrière à droite, un autre derrière elle à gauche, encore en autre devant elle à droite, et le dernier devant elle à gauche. A croire qu'ils avaient peur qu'elle s'échappe : c'était comique, puisqu'elle était celle qui gouvernait.

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En rajoutant les dialogues, l'autre joueur saura mieux quoi répondre:

Citation :

Quand elle entendit le prêtre prononcer "je n'ai foi en aucun des deux parti", et qu'elle vit l'homme de religion entrer, Orora se leva brusquement, posa vivement son exemplaire de la bible, objet pourtant précieux, que lui avait offert son père avant de mourir, qu'elle feuilletait avec attention quelques minutes plus tôt. Espèrant que le prêtre ne voit pas son geste, et, si il l'avait vu, elle epérait qu'il ne s'en mêlerai pas. Elle se dirigea vivement vers l'homme de religion, pour se planter devant son ancien précepteur. La tristesse avait fait place à l'air sérieux qu'elle employait tout le temps en ce moment, même si, face à l'homme de religion, elle s'efforcait d'être un minimum sympathique. Elle s'était rendu compte la veille de combien il pouvait être supportable comparé à son bras droit. Elle demanda, d'une voix tout à fait assurée:

"Bonjour. Il y a un problème ?"

Elle se demandait comment cela se faisait-il que le religieux soit descendu la voir en personne. D'ordinaire, soit il utilisait l'écran de contact, soit il envoyait deux, trois ou même quatre gardes la chercher. Ce qu'elle n'apprèciait pas trop par ailleurs, car si deux gardes venaient la chercher, ils se plaçaient l'un à droite et l'autre à gauche. Si ils étaient trois, il y en avait toujours un à droite, un à gauche, et un derrière. A quatre, il y en avait un derrière à droite, un autre derrière elle à gauche, encore en autre devant elle à droite, et le dernier devant elle à gauche. A croire qu'ils avaient peur qu'elle s'échappe : c'était comique, puisqu'elle était celle qui gouvernait.

[/quote]
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Et enfin les lieux, les objets :

Citation :

Quand elle entendit le prêtre prononcer, depuis l'autre coté de la porte: "je n'ai foi en aucun des deux parti", et qu'elle vit l'homme de religion entrer, Orora, qui était assise devant son bureu, se leva brusquement, posa vivement son exemplaire de la bible, objet pourtant précieux, que lui avait offert son père avant de mourir, livre qu'elle feuilletait avec attention quelques minutes plus tôt, sur le bureau en question. Espèrant que le prêtre ne voit pas son geste, et, si il l'avait vu, elle espérait qu'il ne s'en mêlerai pas. Elle se dirigea vivement vers l'homme de religion, pour se planter devant son ancien précepteur. La tristesse avait fait place à l'air sérieux qu'elle employait tout le temps en ce moment, même si, face à l'homme de religion, elle s'efforcait d'être un minimum sympathique. Elle s'était rendu compte la veille de combien il pouvait être supportable comparé à son bras droit. Elle demanda, d'une voix tout à fait assurée:

"Bonjour. Il y a un problème ?"

Mais elle se demandait comment cela se faisait-il que le religieux soit descendu la voir en personne. D'ordinaire, soit il utilisait l'écran de contact, soit il envoyait deux, trois ou même quatres gardes la chercher. Ce qu'elle n'apprèciait pas trop par ailleurs, car si deux gardes venaient la chercher, ils se plaçaient l'un à droite et l'autre à gauche. Si ils étaient trois, il y en avait toujours un à droite, un à gauche, et un derrière. A quatre, il y en avait un derrière à droite, un autre derrière elle à gauche, encore en autre devant elle à droite, et le dernier devant elle à gauche. A croire qu'ils avaient peur qu'elle s'échappe : c'était comique, puisqu'elle était celle qui gouvernait.

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Astuces:

Si vous faites trop de fautes, personne ne voudra lire votre RP. Essayez donc de vous relire, et, si cela reste toujours trop limite, utilisez un traitement de texte (comme Word, par exemple) pour écrire votre message et corriger les fautes. Ensuite, vous n'aurez plus qu'a faire copier-coller dans votre sujet. Autant vous dire de suite que moi non plus, je ne suis pas une experte, vous l'avez sûrement constaté.

N'oubliez pas de rester bien dans l'univers de Aaroseï, et laissez les autres donner les actions de leurs personnages.

Ne faites pas non plus de votre message un récit, c'est décourageant à lire pour certains, et en plus, il est encore plus difficile de répondre.