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| Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") | |
| | Auteur | Message |
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Zirion Empoisonneur
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| Sujet: Même sous les vérrous on peut s''amuser!(suite de"juste pour rigoler") Sam 9 Mai - 15:19 | |
| Cela faisait longtemps que Zirion n'avait pas été en une situation aussi dangereuse, il avait éscaminé tous les recoins de sa cellule et n'avait trouvé aucune faille a part chez les personnes qui venait souvent dans sa cellule pour lui faire rejeter des aveux et des informations concernent les protections qui entourait Ororéa :Zirion avait consciencieusement expliquée a ses bourreaux comment par une technique de méditation approfondie il avait réussie a contrôler ses nerfs, ainsi il pouvait ressentir la douleur ou ne pas la ressentir. Les soudoyeurs n'avaient pas de meilleur résultats, le nombre de fois ou Zirion s'était endormis avant la fin de la liste interminable de promesses n'était plus possible de compter. Les personnes venue lui faire des menace plus horrible les une que les autres avaient les mêmes résultat que leurs collègues: Zirion détournait toujours le sujet et les désespéraient au plus haut point. Par contre si ses geôlier n'avaient aucun résultats, Zirion lui en avait:ils avaient commencé par des robots, mystérieusement la prison fit des commandes a un fournisseur de robots une semaine après l'interrogatoire de Zirion par des robots. Par des faits que les geôlier ne s'expliquaient pas les robots ne tenaient jamais plus d'une minute dans sa cellule, les personnes qui rentraient dans la cellule avec les robots ou qui regardaient la scène était toujours frappé par une amnésie inexplicable mais implacable.Mais pourtant Zirion ne s'évadait pas, Ororéa lui avait dis de semer le trouble chez ses ennemies, il avait peut être été emprisonné il continuait sa mission. Après les robots il avait eu droits aux hommes normaux, la encore il avait de grande réussite: le nombre de pendu et de désespérés par sa faute ne se comptais plus. Il y avait aussi les bourreaux empoisonnés, déchiqueté ou encore plongés dans un comas profond car il avait percés une poche de venin, gaz, déclencheurs de bombe...Qui se trouvait sous la peaux de Zirion ne pouvaient plus être comptés non plus. Il avait aussi profiter des siestes prolonger de ses geôlier pour empoisonnés les ration de nourriture, libérés une dizaine de prisonnier, mais il retournait toujours a sa cellule avant l'arrivée des gardes. Pour Zirion sa mission ne s'était pas arrêté mais avait juste eu des complications inattendue mais dérisoire vue qu'elle n'avait que retardé sa mission. Ses oreilles captèrent immédiatement le bruit de pas venant vers sa cellule, pour l'instant Zirion s'était ennuyé dans la prisons. Ce bruit de pas ce détachait totalement de celui des gardes, un pas et rapide ce détache facilement de celui des gardes marchant lentement et lourdement. Zirion sourit, il allait enfin avoir une raison de s'amuser pleinement. La porte s'ouvrit et l'inconnu entra. | |
| | | Takeshi-San Kovacs Diplo (CGM)
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Mar 12 Mai - 21:43 | |
| Quelques tirs de Heckler & Koch ou de Sai, de petit combat à l'aide de Takec. Cachée dans l'angle d'un mur, la Diplo prit une grande inspiration. Son bras la fesait souffrir. Un tir de blaster l'avait à peine effleuré, entamant tout de même largement la chair. Elle ferma les yeux un instant. Suite de signaux psychiques. Puis finalement, le neurachem daigna se régler en mode "isolation". Il isolerait la douleur jusqu'à une autre blessure. Tak' leva les yeux au ciel : encore une sentinelle ! Ils ne savaient donc mettre que de ça ? Kovacs décrocha l'une des bandes dorées qui étaient nichées dans sa chevelure. Un éclair doré. La bande s'enroula autour de la mittraillette du militaire. Tirant sèchement sur le ruban, Tak' envoya voler l'arme à quelques mètres. Le militaire se retrouva au sol. Avant même qu'il ait pu réagir, Kovacs l'avait crocheté et pointait le Heckler & Koch sur son front. Elle jeta un oeil au grade sur l'épaules du militaire.
-T'as un type qu'on nomme Zirion, ici, capitaine.
Pas le temps de poser la question. Un coup de poing précipita Kovacs au sol, la lèvre éclatée. A quoi revenait la faute de son vocabulaire situé à la limite de l'acceptable, son esprit calculateur et son ignorance de la peur ? Des volées prise par son père, du projet Diplo, où de la mort de Soto-San ? Takesh' elle-même l'ignorait. Toujours était-il qu'elle l'insulta, tentant de relever le visage :
-Sale fils de ... Ah !
Il venait de lui asséner un coup de talon qu'elle sentit passer sur le crâne. L'homme récupera sa XM 248 simplement en tendant le bras, et la braqua sur lajeune femme. Sans doute pour tirer, mais n'arriva pas à en faire quoi que ce soit. Elle passa son pied derrière le talon restant de de l'homme et attira le genoux vers elle. Takesh' s'était relevée et avait collé le canon du Heckler & Koch sur le front de l'homme quand il se retrouva au sol, ayant lâché la mitraillette sur le coup.
-Où est le détenu qu'on t'as amené il y a un mois ?
Pour toute réponse le militaire désigna la porte d'une celule. La Diplo commença à appuyer sur la gâchette en marchant sur le bras de la sentinelle qui essayait d'attraper une seconde fois sa XM 248.
-Hé mais tu ... -Dans le business des Diplos, y'a pas trente-six solutions. Ce qu'il faut, c'est que les témoins soit les seules preuves. Et de préférence, il ne faut pas qu'y ait de témoins.
L'aiguille monomoléculaire siffla comme un moustique en fendant l'air, et Takeshi-San sourit légèrement en pensant au venin d'araignée qui mettait le système nerveux du militaire en vrac. Elle hocha la tête en guise d'adieu, et posant la main sur sa lèvre blessée, elle regarda le sang. La Diplo secoua la tête d'un air incrédule. S'adressant au cadavre, elle fit encore preuve de son humour particulier :
-Tu serais encore en vie si t'avais pas osé t'attaquer à une faible femme, militaire.
Sur quoi elle disparu devant la cellule. Vieux cadena comme il y en avait tant. Décidemment, ils avaient peur des nouvelles technologies, ici. Elle rangea le Heckler & Koch et se saisit Sai. C'était cette arme qui avait la plus grande puissance de feu. Un coup et le cadena de la porte sauta. La Diplo entra sans baisser sa garde, pour faire face au prisonnier. Elle ouvrit sa tunique d'une simple pression sur l'épaule, et rangea Sai dans le hostler, pour s'empresser de refermer la tunique et prendre le Heckler & Koch, à sa cheville. L'opération avait duré moins de cinq secondes. Kovacs n'était pas ici pour faire voir ses sous-vêtements au premier détenu venu, mais pour le faire sortir d'ici.
-Zirion Erast Matilant, alias "l'Homme Aux Poisons" ?
"L'Homme Aux Poisons" était effectivement un surnom qui lui était donné de temps à autre, les rares fois où les gars des bas-quartiers faisait référence à divers empoisonnements. Parce qu'invariablement, le sujet finissait par partir vers cette empoisonneur de renommée. | |
| | | Zirion Empoisonneur
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Dim 17 Mai - 17:07 | |
| La personne qui entra ne correspondait pas vraiment avec l'image qu'il s'en était fait, pourtant les apparence sont trompeuses, dans le cas du visiteur les apparences ne voulait absolument rien dire, les Diplo ressemblaient à des personnes normales mais étaient des tueurs a toutes épreuves. Zirion jeta un dernier coup d'œil au geôlier qui avait commis l'imprudence de rentrer dans sa cellule puis le tua. Il entendit la Diplo parler: -Zirion Erast Matilant, alias "l'Homme Aux Poisons" ? Zirion sourit et lui répondit: -C'est bien moi, je suppose que vous êtes Takeshi-San Kovacs, la Diplo mercenaire et que vous êtes venu me libéré. Il sortit de sa cellule et regarda le corps du garde sur le sol: Je voie que je ne suis pas le seul a me débrouillé avec les poisons, je préfère utilisé celui des serpents mais chacun a sa manière, avant de sortir de ce charmant bâtiment j'aimerais récupéré mes affaires, je ne voudrait pas que quelqu'un se blesse. Le ton ironique de la phrase laissait entendre qu'il allait refaire toute la décoration de la prison et si possible de tout les bâtiments adjacents. Il avait l'intention de payer rubis sur touche l'hospitalité d'Orora. | |
| | | Takeshi-San Kovacs Diplo (CGM)
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Dim 17 Mai - 20:00 | |
| Sourire en coin. La Diplo était déjà précédée par sa réputation à Enrora. Alors si c'était le cas à Enroréa ... On lui aurait simplement dit qu'elle était une Diplo, d'accord. De part ses yeux et ses ongles violacée, ça n'aurait rien eu d'étonnant. Mais là, on avait completé en disant son nom. Donc deux choix : ou bien elle était attendue, ou bien elle était précédée par sa réputation, ce qui n'était pas forcément improbable non plus. Apparemment, les Diplos qui étaient censés être quelque chose de secret au départ était devenus des phénomènes. Ce qui valait mieux au bout du compte, parce que dans le cas contraire, Kovacs aurait sans doute déjà subit une petite vingtaines d'interrogatoires. Des interrogatoires du genre de celui qu'elle avait subit à la prison d'Enroréa. Et donc, des interrogatoires du genre particulièrement désagréables, surtout qu'ils laissaient à peine le temps au neurachem de se mettre en marche. Donc, ils lui laissaient encore moins le temps de se régler en mode explosif.
Mais là, il en avait le temps. Suite de signaux psychiques. Tak' venait de préparer une petite explosion. Juste assez pour ne faire exploser que la prison, et par conséquent, l'homme qui était près d'elle. Enfin ... l'homme vivant, qui était près d'elle. Et à bien y réfléchir, le gardien mort aussi, d'ailleurs. La voix de la Diplo était toujours aussi neutre quand elle répondit, tutoyant l'inconnu, comme elle le faisait toujours :
-Ou bien tu m'attendais, ou bien je suis précédée par ma réputation. Que ce soit l'un ou l'autre, je m'en cogne. Mais je ne suis pas une mercenaire. Je me vends au plus offrant, c'est tout.
Selon elle, mercenaire sous-entendais combattant. Et elle pouvait aussi bien être une combattante qu'une prostituée ou une éboueuse, tant qu'on la payait selon sa demande, ou plus encore. La Diplo sortit de la cellule à la suite de l'empoisonneur. Elle ne fut pas surprise de l'entendre évoquer les poisons. Après tout, les poisons constituaient la vie de ce type, alors !
-Chacun a sa manière, effectivement. Et la mienne en vaut une autre.
Quand Zirion fit allusion à la récupération de ses effets, Takesh' le saisit par le bras pour qu'il l'écoute jusqu'au bout.
-Mais je ne te laisserais pas récupérer tes affaires. Ce n'est pas convenu dans mes ordres.
Elle avait parfaitement comprit ce que voulait faire ce type. Et elle n'était pas disposé à le laisser faire exploser quelques bâtiments. Au contraire, il était dans leur intérêt à tous les deux de s'en aller sans faire plus de carnage. Soudain, un bruit strident. Une alarme. La lumière du couloir passait du blanc au rouge, du rouge au blanc ... Les rayons de surveillances avait détecté des traces de violence. Ils avaient donc un système de rechange. Finalement, ils étaient plus précautionneux que l'aurait cru Kovacs. Un mouvement de rage, elle laissa tomber le Heckler & Koch, et jetant un regard meurtrier vers le voyant rouge qui clignotait, elle tira. Vite fait et bien fait, ça aurait pu être la devise de la Diplo. La puissance de feu de Sai eu raison du bruit mais pas de la lumière. Quand Kovacs reprit, sa voix était pressante, à tel point qu'elle frisait la menace :
-Ils vont bientôt arriver, et ma tête est mise à prix dans les deux camps. La tienne aussi, dans le camp d'Enrora. J'ai des ordres te concernant. Je dois te parler de la part de mon employeur. Mais pas ici.
Elle lâcha Zirion et se baissa pour ramasser le pistolet. Sous les lumières qui s'alternaient, on pouvait encore mieux comprendre à l'expression de la Diplo que ; 1 : elle ne plaisantait pas. 2 : elle prenait vraiment ce qu'elle avait à dire à coeur. 3 : c'était une question de vie où de mort. 4 : elle espérait vraiment qu'elle n'aurait pas à se faire sauter elle, lui, et le bâtiment.
-C'est suffisament important pour que tu laisse tomber Ororéa pour le moment. A savoir que sur le coup, je croie que c'est elle qui m'emploie.
De but en blanc. Tak' ne voulais pas rester à bavasser en attendant la grande faucheuse que signifiait le personnel du bâtiment. Mais il fallait qu'elle attende la réponse de ce type à l'apparence incrédule, avant de partir ou (s'il ne coopérait pas) de tout faire sauter.
Dernière édition par Takeshi-San Kovacs le Mar 20 Avr - 16:09, édité 1 fois | |
| | | Zirion Empoisonneur
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Mar 19 Mai - 19:22 | |
| Vue l'expression sérieuse de la Diplo Zirion en déduisit qu'elle avait surement été repéré et que le temps jouait contre eux. Il comprit aussi qu'il récupérerait ses armes plus tard. Il prit quand même une minute a extraire une fiole de venin de sa peau et l'étaler sur tout son corps. Puis il se tourna vers la Diplo: -Vive les biologistes, c'est fou ce qui peuvent trouver en ce moment. Il lui montra les énorme et épais cal qui poussait sur sa peaux: -Ça ne vaut pas une armure pare-balles mais sa arrettera une bonne dizaine de tir, on peut y aller. Zirion se mit a suivre la Diplo en débouchant les minuscules ouvertures des poches de venin qu'il avait dans chaqune de ses mains, Takeshi-San Kovacs avait son pistolet, lui il avait ses poisons. Il n'avait aucune envie de jouer le fardau et avait bien l'intention de se rendre utile sans pour autant détruire le quartier, la Diplo voulait être discrete et il sera discret. Mais jamais Zirion ne remettrait sa vie entre les mains de quelqun, il voulait bien suivre la Diplo mais s'était un espion, un assassin, metiers ou la confiance est une faiblesse et une prommesse de mort. | |
| | | Takeshi-San Kovacs Diplo (CGM)
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Mar 19 Mai - 23:11 | |
| La Diplo écouta à peine ce que disait Zirion. Elle lui fit le signe de la suivre. S'il croyait être le seul à s'y connaître en plans, il se trompait. Elle stoppa brusquement à l'angle d'un couloir, amplifiant son audition au maximum. Ce n'était pas qu'une course contre la montre, ça n'allait pas tarder à être une course-poursuite. Tak' s'élança vivement en sens inverse. A se demander ce qu'elle faisait. Kovacs continua sa course dans un couloir pour finalement accéder à un escalier. Escalier qu'elle descendit d'une manière assez particulière, se laissant glisser sur la rambarde pour accèder plus vite à l'étage du dessous. Elle écoutait, cherchant à éviter de risquer de croiser quelqu'un. Elle avait prit trois chargeurs, deux noirs et un vert. Et les trois était vide. Concernant, Sai, elle ne pourrait plus tirer qu'une fois. Et même, elle avait déjà fait assez de dégâts. Les aiguilles monomoléculaire n'était pas quelque chose de courant, à un point tel que c'était pratiquement officiellement devenu la signature de la Diplo.
Finalement, elle arriva devant un conduit, dont la grille avait visiblement été arrachée. Un rapide coup d'oeil en arrière l'informa qu'elle était toujours suivie par ce type qu'elle ne conaissait pas, mais qu'elle commençait déjà à apprécier. D'abord parce qu'ils étaient dans le même bateau, un bateau prêt à couler, et aussi parce qu'apparemment il n'était pas de ces amateurs qu'on semait si facilement. Comme quoi la Diplo l'avait sous-estimé au premier abord.
Kovacs s'engouffra dans le conduit sans encombre.
- Oublies pas de refermer. Y'a un bout de temps que ces conduits sont désaffectés, ils servaient de planque en cas d'alerte et ...
Finalement, elle sauta dans une autre pièce.
- ... C'est utile quand on veut se trouver quelques petite salles. J'y suis déjà venue.
La pièce en question avait été amenagée. Tout un système informatique était implanté, un lit à deux place s'étendait dans un coin. Et un bas placard avait même été installé.
- Tu y voies dans le noir ?
Elle n'attendit pas la réponse. S'agenouillant près d'un modem, elle frappa un code à six lettres. Instantanément, l'ordinateur en question s'éteignit. Comme la moindre des lumières, d'ailleurs. La Diplo avait coupé tout le système électrique. En fait, tout le quartier devait à l'heure qu'il était être plongé dans l'obscurité. Saisissant l'empoisonneur par la main comme pour éviter qu'il se perde, elle lui fit comprendre de la suivre une fois encore.
Elle relâcha Zirion pour accomplir une nouvelle fois le trajet dans le conduit, mais en sens inverse. La grille fut d'ailleurs pulverisée d'un coup de pied. Plus qu'à retrouver la sortie. La Diplo était habituée à l'obscurité, plus que ça : elle avait du mal à gérer d'être à la lumière. En plus, son neurachem ajoutait de la précision à sa vision. Kovacs n'aurait aucun mal à retrouver la sortie, alors que les pauvres gardes de la prison devaient paniquer dans le noir.
Mais ce ne fut qu'arrivée à l'extérieur qu'elle s'autorisa à se reposer un instant. Elle était un peu essouflée par sa course. La rapidité et l'agilité, d'accord. Mais l'endurance n'était pas son point fort. Elle clignait des yeux fréquement, la lumière l'éblouissant un peu. Pourtant, le ciel était couvert.
- Ca va ?
Elle n'avait pas l'habitude de mener ce genre d'expédition : devoir garder un type en vie et lui porter un message. On avait prévenue Tak' : s'il arrivait la moindre anicroche à Zirion, la planète ne serait pas assez grande pour cacher Kovacs. Mains sur les genoux, le regard braqué sur le sol, elle respirait bruyamment. Elle détestait être essouflée, surtout quand c'était devant quelqu'un, car elle considérait cela comme un signe de faiblesse. Finalement, elle se redressa :
- Le courant va pas tarder à revenir, et ils vont sortir. 'Faut se barrer. T'as pas peur des quartiers "mals" fréquentés ? Y'a que là-bas qu'on pourrait parler à peu près tranquille. | |
| | | Athéna Mercenaire
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Mer 20 Mai - 16:57 | |
| A... A... Aaaaaaaaaaaaaatcha!
Mince, pas discret discret comme arrivée... Athéna se redressa et secoua la tête pour faire partir le pollen de ses cheveux avec une grimace mécontente. Elle avait été contacté par un de ses précédents employeurs. Celui ci lui avait expliqué que Zirion avait été emprisonné et qu'il avait chargé Takeshi de le libérer. Puis il lui avait révélé que l'alarme de la prison avait sonné et que les deux fugueurs avaient été retrouvés. Donc elle se retrouvait ici, couverte de pollen pour avoir essayé de passer par les champs, à devoir aider une adversaire et un empoisonneur... On trouvait mieux comme programme. Mais ça s'annonçait plus intéressant que prévu...
'Scusez, je dois être allergique au pollen...
Elle passa les mains dans ses cheveux d'argent pour une fois laissés libres et secoua de nouveau la tête pour en faire partir les petits grains jaunes puis continua
Bon, je suis sensée vous récupérer à l'arrivée et vous aider à passer à travers les défenses extérieurs mises en place avec le système d'alerte... Vous êtes blessés ou vous pouvez courir?
Traduction : magnez vous, les soldats arrivent! Elle tendis un sac à Zirion et l'ouvrit pour lui dévoiler le contenu. Il s'agissait de la quasi-totalité des armes de l'empoisonneur...
Je suis allée faire un tour du côté des savants de la prison, ils ont pris quelques unes de tes potions mais il en reste pas mal. Venez!
Elle s'éloigna sans regarder si les autres la suivait et farfouilla derrière un morceau de mur écroulé. L'instant d'après, un engin qui balançait entre la moto et le deltaplane se dévoilait devant leurs yeux Un machin conçu pour aller vite, très vite même. Avec un sourire de dingue, elle alluma le moteur qui émit une sorte de ronronnement et les ailes qui bordaient les roues se déployèrent, lui offrant une forte ressemblance avec un faucon prêt à décoller Trop tard. Au même instant, une horde de flics bien armés déboulèrent de l'entrée principale de la prison et s'engouffrèrent dans les petites ruelles de la capitale Dangereusement près d'eux Des cris retentirent vers leur droite, suivis d'une voix forte qui donnait des ordres à la cadence d'une mitrailleuse.
Hum... Je nous donne environ... Allez, cinq minutes. Zirion! Tu n'es pas un combattant des ruelles et nous ne sommes pas habituées à ta manière de combattre, on te retrouve plus tard, quand on se serra débarrassées des gardes!
C'était bien beau, dit comme ça. Mais plusieurs problèmes se posaient 1) Les gardes étaient une bonne centaine 2) Zirion ne la connaissait même pas 3) Takeshi ne devait certainement pas apprécier qu'elle soit intervenue dans sa mission ... Et encore moins qu'elle ait déjà prévu tout le programme... enfin, cela dit, Athéna la comprenait. Elle même avait les plus grands problèmes à suivre un programme imposé et y dérogeait souvent par pur esprit de contradiction En manquant généralement de se faire trucider... Enfin, c'était trop tard pour les présentations, ils n'avaient plus aucun échappatoire (autre que les air) et la Diplo devrait faire avec. Pour l'instant, l'important était de sauver leur peau! Sans regarder si les autres suivaient ses conseils, elle porta la main à son sabre avant de renoncer avec un sourire carnassier D'abord les armes à longue distance. Quand les premiers soldats arrivèrent, elle rabattait brutalement les bras. Six d'entre eux s'effondrèrent, une étoile de jet particulièrement acérée enfoncée dans la gorge Et l'enfer débuta... | |
| | | Takeshi-San Kovacs Diplo (CGM)
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Mer 20 Mai - 22:43 | |
| Si cette fille débarquait, ça voulait dire que Zirion et Tak' avaient sûrement déjà récupérer leurs passeports pour l'enfer. Il aurait donc été mensonger de prétendre que Takeshi-San était mécontente de la voir arriver. Si Kovacs avait déjà vu cette fille, c'est parce que comme pour Takesh', certains panneaux de la ville avait une jolie affiche sur laquelle était notée son nom, accompagné d'une belle promesse de récompense. Elle ne posa pas de questions quand Athéna sous-entendit qu'il fallait encore courir : comme un bon ancien soldat - même si le service de Kovacs n'avait duré que moins de deux mois - qui se respectait, elle avait tendance à faire ce qu'on lui disait de faire sans poser de question, sauf quand son instinct Diplo l'informait d'un hypothétique danger. Quand elle "ne le sentait pas". Là, elle s'était executée. Finalement n'aurait-elle pas dû, et plutôt se contenter de disparaître par les toits ou les égouts, comme elle le faisait si bien. Parce que les cris et la voix amplifiée ne lui laissa pas le temps de réaliser son erreur. Combien devaient-il être ? Une centaine, environ. Suite de signaux psychiques. Avant que le premier des flics essaie de tirer dans Tak' parce que manifestement, les deux combattantes ne voulaient pas se rendre, la Diplo avait réglé son neurachem en mode combat et quitté le mode amplificateur d'audition. Une aide en plus. Et au pire, elle gardait la fonction explosif sous réserve. Pas d'autre choix, elle allait devoir se contenter de Takec. Mais elle prit le temps de crier à Zirion :
- Retournes pas à Enroréa ! Y'a ...
Pas le temps de terminer sa phrase. Déjà elle se baissait pour éviter une balle. Mais une autre l'atteignit à la jambe. Aussitôt, et laissant tomber l'isolation de la douleur de son bras, elle isola celle de la jambe. Si la douleur prenait le dessus, elle l'aurait empêchée de se battre. Une explosion de sang et une tête vola. Tak' se sentie attrapée brusquement par derrière. Se détournant vivement, elle assèna un coup de coude. Méthode habituelle en cas de surnombre : Elle sortit une grenade qu'elle dégoupilla tout en flanquant un pied dans la tempe d'un des attaquants, avant de s'écarter pour éviter de justesse quelques tirs de mitraillette.
La Diplo ne prévint pas et balança l'arme le plus loin possible. Pas assez loin. Le temps d'empaler un des policiers et elle se baissa pour se protéger de l'explosion. L'un en profita et elle évita de justesse une autre floppée de balles. Au moins, elle avait réussit à les paniquer. Certains d'entre eux étaient même morts. Alors que l'un de ceux qui étaient vivants était allongé sur la Diplo, la maîtrisant de son mieux, plaquant un long poignard sous sa gorge, il lui fit part de sa manière de penser :
- Vous êtes une ordure.
Kovacs essaya de le repousser mais il enfonça un peu la lame, faisant couler un mince filet de sang sur le cou de la Diplo. Il allait falloir ruser.
- Putain, ça suffit ! - Explosion !!!
Prévint-il aussitôt en se levant pour reculer vivement, suivit de près par ses camarades, horrifiés. Profitant des quelques minutes que son bluff lui avait accordé, la Diplo se redressa. Des éclairs zébrèrent l'air, aveuglant un instant ceux qui l'entouraient. Takesh' avait mal aux yeux, ce qui n'arrangeait guère sa manière de combattre. En quelques pirouettes pourtant, la jeune femme se retrouva hors de portée des tirs. En fait ... elle avait pratiquement disparu.
Depuis le toit de l'habitation située en face de la prison, Kovacs hésita. Puis finalement, elle dégoupilla une autre grenade et la lança au milieu de la foule de flics, avant de disparaître de l'autre coté du toit sous une pluie de balles. Il fallait empêcher Zirion de faire la plus grosse gaffe de sa vie.
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| | | Athéna Mercenaire
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| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Ven 22 Mai - 23:06 | |
| Quand les soldats avaient déboulé, Athéna avait perdu toute notion de prudence. Elle saisit son sabre et bondit au milieu de la mêlée sans prendre garde aux balles ou aux rayons plus dangereux qui fusaient autours d'elle
A l'attaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaque!
Complètement dingue... Mais comme d'habitude, les ennemis avaient hésité un instant en voyant la frêle jeune fille se lancer sur eux en brandissant un sabre. Arme inutile contre des fusils. Ils avaient hésité trop longtemps... En une fraction de seconde, la mercenaire était sur eux, les obligeant à lâcher leurs armes de longues portée pour des poignards ridiculement inoffensifs contre un adversaire comme elle. Une grenade s'abattit à quelques mètres d'elle sans qu'elle y prête la moindre attention, plongeant la scène dans un nuage de fumée grise qui colorait le noir de la nuit ambiante. C'est là qu'Athéna se déchaîna... La voir combattre était fascinant. Elle enchainait coups, feintes, parades et pirouettes avec une rapidité confondante. Sa natte d'argent traçait d'élégantes arabesques autours d'elle et son corps virevoltait comme une ombre insaisissable. Son combat était une danse. Une danse mortelle. Alors qu'elle prenait appuis sur un mur et envoyait ses talons dans le sternum d'un combattant, elle entendit un infime bruissement un peu plus haut Son deltaplane! D'un coup, la mercenaire se dégagea de la mêlée, agrippa le mur qu'elle escalada en quelques bond et s'envola... Son corps décrivit une courbe gracieuse dans le ciel alors qu'une pluie d'objets tranchants se déversaient de ses manches pour se ficher avec une précision démoniaque dans une gorge ou un cœur... Puis la gravitation retrouva ses droits et Athéna atterrit sur l'avant de l'étrange appareil qui sillonnait le ciel de manière vraiment désordonnée
Accroche toi, ça va chauffer!
L'avion piqua d'un coup, rasa la tête d'un contingent qui se jeta à terre pour remonter en looping joyeux à laisser ses tripes 15 mètres plus bas. Un éclat de rire retenti alors que l'avion/moto/deltaplane faisait un nouveau passage et un cri de joie se fit entendre à l'occasion d'une nouvelle cascade suicidaire
Takeshiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii! Attention, on arriiiiiiiiiiiiiiiiiiive!
Athéna inclina les commandes de l'engin qui piqua une nouvelle fois vers le sol, désorganisant un peu plus les troupes qui ne voyaient pas l'ennemi, et crocheta la Diplo au passage, l'embarquant sans lui demander son avis. L'instant d'après, ils volaient à 100 mètres de haut, invisibles au yeux des soldats qui frôlaient la panique en mettant le quartier sans dessus dessous Alors que l'euphorie du combat retombait, Athéna ressentit un élancement brutal au niveau du flanc. Et de la cuisse aussi. Sans oublier le dos, qui la brulait comme si quelqu'un avait eut la mauvaise idée d'allumer une torche dans ses vêtements... Elle eut un hoquet de douleur alors que la sensation se précisait et lâcha les commandes pour observer son flanc et sa cuisse si douloureux Ils étaient en sang. Un tir de Blaster avait emporté un gros morceau du muscle de la cuisse et son flanc avait été perforé par un poignard. Elle ne voulait même pas savoir l'état de son dos... Un léger grondement franchit le barrage serré de ses lèvres alors qu'une nouvelle vague de souffrance l'envahissait, plus insistante... Elle fini par craquer. Ses bras se mirent à trembler puis la lâchèrent. Ainsi que le volant. Recroquevillée sur elle même, les yeux plissés sous l'afflux de la douleur, Athéna ne vit pas les belles piques bien pointues qui se tendaient vers eux. Elle ne vit pas les ailes de l'avion de refermer alors qu'il repassait en mode moto. Elle n'entendit pas la voix pressante du mini-ordinateur de bord qui l'enjoignait d'au moins passer en mode automatique Elle ne voyait plus rien Rien qu'un monde noir parcouru d'éclairs blancs de douleur... | |
| | | Takeshi-San Kovacs Diplo (CGM)
Nombre de messages : 38 Réputation : 5757 Date d'inscription : 19/04/2009 Age : 30 Localisation : Partout, sauf sur la trajectoire des satellites.
Fiche d'identité du personnage Talent particulier: Côté coeur: Anciennement, Soto-San ... Point faibles:
| Sujet: Re: Même sous les vérrous on peut s'amuser!(suite de"juste pour rigoler") Mar 26 Mai - 21:47 | |
| La Diplo avait autre chose de particulier : même quand elle n'avait pas de plan, elle le conçevais en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. Actuellement, c'était le plan d'urgence. Kovacs avait elle aussi été blessée à l'épaule par un tir de Beretta, à la jambe par une volée de kalachnikov, au cou et au bras par un tir de blaster, plus un trait sanglant dans son dos. Mais le neurachem isolait la douleur. Alors elle s'en tirait légèrement mieux. De plus, la blessure sans grande gravité de son bras commençait déjà à cicatriser ... et Tak' bénissait son neurachem. La Diplo repoussa Athéna sur un coin du siège. Elle saisit le volant à deux mains. Ses yeux virèrent au rouge sang tandis qu'un mal de crâne la prenait. Kovacs devait être passé sur la trajectoire du stellite le plus proche, le satellite Orien. A coup sûr, on essayait de se connecter à son neurachem pour la localiser. Elle résistait du mieux qu'elle pouvait à la connexion. Elle avait opté pour les ondes venesia lors de l'attaque des policiers. Mais elle avait échoué. Sans compter que cela avait permit de localiser sa position. Et le neurachem quittait le mode isolation, faisant revenir les douleurs. Peu importait. Tak' leur filerait encore entre les doigts, blessée ou pas. Ils devaient avoir abandonné, puisque le mal de crâne stoppa soudainement et les pupilles de la Diplo virèrent à nouveau au noir.
Mais ce court instant de résistance lui avait fait perdre trop de temps : la Diplo essaya vainement de redresser l'appareil. Tak' ignorait comment on pouvait bien piloter ce truc. Tant pis. A à peine quelques mètres du sol, elle fit basculer Athéna par-dessus bord. Avant de se jeter d'elle-même sur le sol, terminant sa roulade accroupie.
L'engin n'allait pas tarder à s'exploser, et les deux mercenaires seraient aux premières loges. A coup sûr, brûlures au troisième degré ... au mieux. Takesh' n'était pas décidée à cela. Une immobilité plus parfaite encore que la normale se fit voir chez la Dipo. Nouvelle concentration d'ondes venesia. Le feu s'arrêta à une trentaine de mètres, comme retenu par un bouclier invisible mais qui faisait légèrement trembler l'air. La Diplo resta ainsi un instant. Puis elle cligna brusquement des yeux. Comme par un phénomène paradoxal, les flammes qui se dégageaient du véhicule furent balayées. Ne laissant que cendres et poussières encore légèrement enflammées. Et enfin Tak' ferma les yeux, et perdit toute sa stabilité, se trouvant allongée au sol. Ses membres ne pourraient plus supporter son poids. Plus avant quelques minutes. Kovacs était exténuée. Elle ne faisait pas ça tous les jours. Seulement quand quelque chose contre lequel on ne pouvait lutter se produisait. En l'occurence, une explosion.
Au bout de quelques minutes, Tak' toussota faiblement et entrouvrit lentement les yeux. Elle s'assit sur le sol d'herbe juste au moment où ses pupilles viraient une nouvelle fois au rouge. Elle résista un instant. Trop épuisée, elle ne tenu pas longtemps. Au moins, les ondes venesia avaient refermées toutes les blessures de la Diplo. C'était parfois utile, un neurachem ... mais comme pour pratiquement toutes technologie, il y avait des inconvénients.
Takeshi-San profita de la connexion déjà établie pour accomplir une recherche. Les coordonnés étaient celles d'un bois dont le périmètre était apparemment assez limité. Elle se releva lentement, sentant ce mal de crâne la reprendre à nouveau. La Diplo repoussa la connexion au maximum. Et sourit en pensant aux dégâts qu'avait dû subir Orien quand elle se débarassa de l'insistance du stellite militaire. Ou plutôt de celle de ses occupants. Jusqu'ici, Tak' avait scrupuleusement évité tous les satellites susceptible de la rechercher. Mais là ... le hasard en avait décidé autrement.
*Putain de connexion.*
Finalement, la Diplo avait réglé sa dette, à moins qu'Athéna ne ce soit pas trouvée au milieu des ondes venesia. Et si c'était le cas, la fille aux cheveux d'argent ne devait être qu'à peu près carbonisée. | |
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